Aloha!

À propos

En créant ce site, alors que mes œuvres ne sont pas encore publiées, mon intention est d’avoir une plateforme où des éditeurs; producteurs de films éventuels et bien entendu des lecteurs potentiels pourront découvrir mes écrits.

Pink rose with a drop of water and green leaves – image on the Joanna Dubois Writer's portfolio

Petite bio

Quoique née en Belgique (dans les années ’50), je me considère comme une « citoyenne du monde ». En effet, à l’âge de 19 ans, mon rêve d’aller vivre à Londres s’est réalisé de façon tout-à-fait inattendue et j’ai fini par passer plus d’années en Albion que dans ma terre natale – même si de temps en temps j’ai fait des infidélités à mon pays d’adoption, en allant plus d’une fois vivre en France pendant quelques années.

C’est lorsque je me suis retrouvée enceinte, à l’âge de 23 ans, qu’est née ma passion pour tout ce qui a trait à la santé holistique.

Comme le bio n’était pas encore de mode et que je voulais offrir une alimentation saine à ma fille, en 1988 j’ai quitté Londres pour m’installer à Eastbourne (sur la Côte du Sussex), où j’ai ouvert un magasin bio. Ce ne fut pas un succès commercial, vu que j’étais un tantinet en avance sur mon temps, mais comme apprentissage, je n’aurais pas trouvé mieux. Par ailleurs, mes clients (tous des réguliers) formaient un club tout ce qu’il y avait de plus sympa. Une fois ma fille partie vivre sa vie indépendante, j’ai trouvé une autre carrière comme guide de voyages.

Entretemps, grâce en grande partie à un séminaire sur le thème du lien entre nos blocages de santé actuels et une possible vie antérieure, que Denise Linn – d’origine Cherokee par sa mère – était venue donner à Londres, j’avais réussi à faire épanouir ma créativité.

En effet, peu de temps  avant, lors d’une séance d’analyse des lignes de la main, une femme remarquable qui allait devenir une merveilleuse guide spirituelle pour moi, m’avait dit que mon but dans cette vie-ci était de devenir écrivain. « Pas question ! » lui répliquai-je. « Etre connue me semblerait comme le pire des cauchemars. » Et en effet, j’ai besoin, plus que tout, de solitude. Et cela, dès l’enfance : j’allais me promener seule dans les bois (malgré ma peur d’une rencontre possible avec un sanglier) pendant que le reste de la famille nombreuse dont je faisais partie, allait en excursion ensemble.

Joanna M.H Dubois, writer, standing next to her favourite tree.

Dès que j’eusse trouvé, dans une vie antérieure, (par le biais de la méditation), la cause du blocage qui m’empêchait de coucher sur papier toute l’inspiration qui me venait de « là-haut », j’ai enchaîné les projets d’écriture.

Bien sûr, mon amour de la solitude, pour un écrivain, est plutôt un atout, non ? Donc, vous ne me trouverez ni sur Facebook, ni Twitter et tutti quanti. La vie virtuelle de la matrice artificielle, ce n’est pas mon truc. Comme le chantait si bien cet autre auteur oh combien non-conformiste, Georges Brassens : « Auprès de mon arbre, je vis toujours heureuse ». Et malgré cela, je me sens connectée au reste de l’humanité et je vous envoie, cher lecteur/lectrice, un énorme rayon de bonheur et de soleil de Tenerife, où je vis actuellement.